Définition du reiki

En japonais, le mot « reiki » désigne à la fois ce que l’on ne voit pas mais que l’on perçoit au-delà de l’apparence physique, et la « force universelle de vie ». Une forme d’énergie vitale spirituelle, présente en chacun de nous et que d’autres traditions ont intégrée : c’est le « ch’i » des Chinois, le « prana » des Hindous, le « pneuma » des Grecs, ou même la « lumière » des chrétiens. L’origine du reiki remonterait à la nuit des temps. Pour certains spécialistes, à la naissance du Tibet, pour d’autres, il s’agirait plutôt d’une forme bouddhiste du qi-gong. Des manuscrits sanscrits hindous vieux de 2 500 ans y font déjà référence… Une chose est sûre : cet art thérapeutique traditionnel a complètement été oublié jusqu’à la fin du siècle dernier, époque où il est redécouvert par Mikao Usui, un médecin japonais. On raconte qu’après un long périple initiatique, Usui retrouva le manuscrit du « système de guérison manuelle du Bouddha » et qu’il vit, au cours d’une illumination mystique, les symboles, formules et techniques du reiki, qui deviendra, selon ses propres termes, le « système Usui de guérison naturelle ».